Notre série de contes écrits par les élèves de 7 à 11 ans de l’École Sainte-Elizabeth dans le cadre de leur participation au concours Butterfly du Rotary e-Club de la Caraïbe
Nous les publions afin qu’ils puissent nous inspirer à l’action illustrant des valeurs comme la bonté, l’amitié, l’esprit d’initiative ou le respect.
Que ces histoires puissent nous réconcilier avec l’innocence et les espoirs de notre enfance.
* * *
Catherine et ses amis.
Thème : Esprit d’Initiative
Jelena Maryana Marc, 11 ans
Il était une fois, une fille qui s’appelait Catherine. Elle était une petite gamine de 10 ans. Elle vivait à la campagne avec ses parents et ses sœurs. Dès que l’été arrivait elle se sentait toujours heureuse parce qu’elle aimait beaucoup la chaleur pour qu’elle puisse se rendre au bord de la rivière. Le Matin, Catherine se lève toujours très tôt pour prendre son petit déjeuner avec sa famille. En mangeant à table.
Elle dit à sa mère :
– Maman est-ce que je peux aller me promener près de la rivière avec mes amies ?
-Bien sur ma chérie, c’est une excellente idée ma fille. Comme ça tu pêcheras de beaux poissons, tu ramasseras de beaux cailloux et tu me les rapporteras comme cadeau.
-D’accord Maman
-Attends un moment, as-tu résolu d’apporter des habits de mer avec tes amies ?
– Oui je leur ai déjà dit que je te demanderais la permission.
– D’accord, va préparer ta valise.
Avoir fait sa valise, elle salue sa mère et part pour aller attendre ses amies qui sont dans un bus.
Un moment après, Catherine voit l’une de ses anciennes amies, Léa venir vers elle.
Elles parlèrent et racontèrent tout ce qui s’était passé pendant toutes ces années en quinze minutes…
Un instant après, elle entend le klaxon d’une voiture, elle tourna la tête et vit que c’était celle de ses autres amies. L’une d’entre elle arriva et dit : Bon c’est l’heure de partir. Catherine s’adressa à Léa : Bon au revoir ma très chère on se reverra demain. Non je neserai pas là. Je vais aller me promener près de la rivière. Et elles s’en vont rapidement.
Après quelques minutes, elles arrivent. Mais elles étaient toutes étonnées de voir la saleté de la rivière. Sarah était une fille très propre et elle dit : mais que la rivière est sale ! je ne peux pas rester une seconde de plus ici. Biloune répond : Sarah ! même quand tu es très propre, tu peux arrêter avec tes niaiseries ! au lieu de faire tout cela, pourquoi tu ne les ramasses pas de préférence. Il y en a qui sont essentiels. – Oui c’est vrai ce que tu dis. Avec les pots de chicos, de sheetos, des noix de coco, on peut confectionner des valises, des bracelets, des colliers etc… Nous pouvons les vendre à la foire de cet après midi . Catherine dit : Oh j’avais oublié cela ! Les filles disent : mettons la main à la pâte. Biloune et Sarah confectionnent les valises. Terminer avec tout cela elles se rendent à la foire et les vendent. Les filles ont trouvé beaucoup de personnes qui voulaient en acheter. Elles ont gagné beaucoup d’argent. Enfin la foire est finie, les filles retournent chez elle à quatre heures. En rentrant, Catherine jette vaguement sa valise par terre et se couche. Que je suis fatiguée ! dit-elle.
Sur les belles plages d’Haïti
Thème : Le Respect
Naclee Sarolie Marcellus, 10 ans
Sous le soleil ardent de l’été, défilaient des gens en maillots de bain sur la plage. Certains adultes jouaient au beach-volley et les enfants eux couraient sur le sable chaud, d’autres gens se baignaient dans la mer bleue étincelante et salée. Avec leurs noix de coco à la main, d’autres observaient cette belle mer. Les conducteurs de barques ou de bois-fouillé amenaient touristes et haïtiens faire un tour dans la mer. Les pêcheurs eux se font récompenser enpêchant des crustacés comme le homard, le crabe, le lambi et autres fruits demer et ils les font cuire, oh délicieux !
Après avoir terminé de manger leur repas, ilsretournent s’amuser à la plage, ils s’amusent à s’envoyer des flaques, les uns sur les autres et avec un peu de musique certains dansent et d’autres font la planche, ils se racontent des histoires en buvant des boissons rafraîchissantes. Sur la plage les gens se font bronzer au soleil, et s’assoient pour entendre les clapotis des vagues.
Mais sur cette plage, il y avait deux amies : Maya et Tika. Tika était sage, gentille et obéissante. Maya était laborieuse, courageuse mais mal éduquée. Pendant qu’elles jouaient au beach-volley, elles se frappèrent ensemble, Maya accuse Tika d’avoir fait exprès de la frapper.Tika essaie de se défendre mais Maya refuse d’écouter son amie alors Tika finit par lui présenter ses excuses et la dispute cesse. Quand le jeu est terminé les filles étaient couvertes de sueur. Tikadit à Maya, allons nous baigner il fait chaud, et Maya fit «Oui» de la tête. Pendant que Maya se baignait, un monsieur la frappa, elle fut vexée et appris les bonnes manières au monsieur mais il ne dit rien. Maya insista et le Monsieur finit par lui dire un mot qui l’a blessée et elle sortit de la mer en sanglots. Son amie Tika sort de l’eau pour la consoler et en la consolant elle lui dit ces paroles : «Tu avais mal fait de proférer des injures au monsieur va t’excuser. » Maya s’excusa et Tika et elle restèrent longtemps à s’amuser.
Depuis ce jour, Maya respectait tout le monde et finit par réaliser qu’il faut seulement vouloir pour avoir.
L’amitié
Thème : L’amitié
Fredrick Samson, 9 ans
Toutes les vacances d’été, Jean-Pierre et ses amis se retrouvent à la campagne « jet d’eau » dans le bourg de Cayes Jacmel. Il y a Marc, son père, le chauffeur du bus, Marie et son cousin Anderson, Jeanne qui aime monter à cheval, et Rubain qui aime la chasse. Ryder qui aime les escalades des montagnes et même la petite Louisse qui aime nager. C’est un rendez-vous. Qu’apportent-ils ? des sacs de couchage, des cartes, des canes, des jeux. Le camp est simple mais tellement amusant. À la tombée de la nuit, la petite Louisse monte sur une branche et fait le cri de l’anolis pour faire peur à Jean-Pierre. Un coup de sifflet et Jean-Pierre se met à crier au secours au secours, à l’aide papa, trop tard, c’est la bousculade dans le sac de couchage. Son père n’arrive pas. Attends ! Le voici, il est tombé, tout le monde a passé la nuit dans le bus. Le lendemain la petite Louisse demande à rentrer à la maison, Jeanne la première accompagnée de ses huit fidèles compagnons. Les autres amis ont du chagrin. Ils ne veulent pas rentrer à la maison les vacances ne sont pas encore terminées. Ce matin Marie dit à ses copains, nous allons faire une promenade au bord de la rivière, puis prendre un bain, ils ont mis dans un sac un bocal pour ramasser des insectes et des vers sur le chemin. Maintenant en sortant de la rivière les voilà, près du jardin de maïs, ils n’ont pas vu le bocal d’insectes et de verset zut ! le bocal roule par terre dit Jeanne, vite, cherchons le bocal, le voilà oh ! oh ! dedans il n’y a rien ! Qui a pu bien faire ça ? cot ! cot !c’est le coq vilain petit coq, il a tout mangé. C’est ainsi qu’ils continuent. Au bord de la route, un vieillard conduit son troupeau : des cabris, des vaches avec leurs cornes. C’est exactement ce qu’il nous faut les copains, dit Marc, une promenade !
La promenade a duré toute la journée. Ils ontvu une tortue dans une mare, une plaine, une plantation de manioc, où les cultivateurs travaillent du matin au soir. Ils plantent, ils sèment et ils arrosent leurs vivres, ils n’ont jamais faim. Il est midi, les amis reviennent de la promenade. Comme ils sont fatigués, ils s’allongent au pied d’un manguier sur le dos. Ils regardent au-dessus d’eux les fruits du manguier qui sont si rafraîchissant. Hé ! je mangerais bien l’un de ces fruits dit Pierre, il selève, il lance et rate le fruit. Alors, il recommence, une fois, deux fois, Zut! c’est trop difficile. C’est le soir, le soleil s’est couché, les amis jouent aux devinettes et sont assis près du feu. Mais dès le lendemain, tout le monde devra rentrer à Port-au-Prince, les vacances sont terminées. Personne n’arrive à dormir, ils ont tous l’air triste. Le matin, au bourg, les habitants célèbrent toujours la fête de l’arbre. Comme chaque année, la matinée de l’arbre se fait toujours le dernier jour de vacance. Tout le monde devra planter un arbre. Ainsi, les amis ne sont plus tristes, ils se mettent au travail. Ce sont leurs coutumes, tous ensembles, ils déposent bien droit les arbres dans les trous avant d’y remettre la terre. C’est à présent aux amis de terminer le travail : arroser les arbres. On les appelle : venez, les enfants, dit le père, allez-vous préparer, il faut se mettre en route. C’est ainsi qu’ils ont bien passé leurs vacances en amis, ils chantent sur la route et disent : Quand est-ce que l’on retournera au bourg ? Bientôt, bientôt. C’est formidable !
Carli et Carla sont amies
Thème : L’amitié
Abigaelle Joseph, 9 ans
Jadis, Carla et Carli étaient de bonnes amies et chacune avait le respect l’une pour l’autre. Un jour, le 5 octobre, c’était la fête de la maman de Carla, elle invite Carli qui était gentille. À 7 heuresde l’après-midi, Carla apporte de la nourriture à Carli, elles sont assises sur une table de deux personnes, et mangent. Lorsqu’elles ont terminé de manger,elles sont allées jouer. Carli n’avait pas d’argent pour acheter un cadeau pour la maman de Carla. Carla lui donne son cadeau et lui dit : ça, ce n’est plus àmoi, c’est à toi. Carli lui dit merci beaucoup tu es gentille. Elles sont contentes et Carl a apporté le cadeau à la mère de Carla. Les vacances terminent. Carli et Carla vont à l’école. Carla ne comprend pas un devoir de Français, elle demande à Carli si elle comprend, Carli dit oui et le lui explique. À 9 heures du matin. La récréation commence. Carla se frappe et a une grande blessure qui lui fait mal. Carli lui dit, Au secours, au secours ! Carlidit : Carla soit courageuse, les classes terminent à 1 heure. Elles sont allées chez elles et Carli et dit à sa mère : Carla est blessée et on l’a emmené à l’hôpital, le docteur l’a soignée et elle est guérie.
Vendredi c’est la remise des bulletins. Carla a la moyenne de 9.55 sur 10 et Carli la moyenne de 7.75. Carla lui dit, ça nefait rien, un jour tu vas avoir la moyenne de 9.75 ou 8.99. Moi je suis contente d’avoir cette moyenne, toi aussi tu as une grande moyenne, toi aussi tu as une grande nouvelle. Un jour je vais avoir la moyenne 7.70 ou 8.05. C’est la vie ! disent les filles en même temps. Arrivée à la maison, Carli est triste. La mère de Carli lui dit : Qu’est-ce que tu as ? elle répond, j’ai fait la moyenne de7.75. Sa mère lui dit, ça ne fait rien, un jour tu vas avoir une grande moyenne. Carla lui répond, tu dis la même chose que Carla, je pensais avoir la moyenne de 8.99. Sa mère lui dit : Carla travaille beaucoup mais toi un peu,c’est la vie ! elle apporte joie et tristesse et moi aussi quand j’étais petite, j’avais fait une petite moyenne. Je comprends ce que vous dites dit Carli. Carla de son côté rentra chez elle contente et triste, sa mère lui demande pourquoi, elle lui répond : Je suis contente d’avoir fait une bonne moyenne et triste à la fois parce que Carli a fait une petite moyenne. La mère de Carla dit : montre-moi ton carnet, en le lisant elle dit : bravo c’est normal, tu travailles beaucoup mais Carli travaille peu, C’est la vie ! Carla dit : C’est la vie ! je l’ai aidé pour le devoir de Français et je vais continuer, un jour je ferai peut être une plus petite moyenne qu’elle, la roue tourne, mais ce sera toujours mon amie.
Une Amitié Inattendue
Thème : Amitié
Melissa Suzelle Idoré, 11 ans
Un jour, mes camarades et moi avions planifié une journée de mer. Pour faire ce voyage nous pensons à un minibus, qui pourrait recevoir vingt-trois élèves.
Avant de partir, nous allons au marché pour faire des provisions. Nous avons acheté des boissons gazeuses et avons préparé la nourriture.
Nous nous sommes mis en route vers 7hrs du matin et sommes arrivés à destinations à dix heures pile.
Dès notre arrivée, nous avons été nous baigner dans la mer, après notre bain nous avons été nous reposer sur la plage. Sur cette plage il y avait du sable fin qui glissait sous nos pieds et des cocotiers qui nous donnent une ombre extraordinaire. Nous sommes restés sur la plage écoutant de la musique et buvant nous rafraîchissant.
Il y avait d’autres personnes venant de partout avec lesquelles nous faisons des aventures lié à des connaissances. En échangeant des idées, ils eurent beaucoup de plaisir. Par l’approche d’une jolie demoiselle qui s’appelle Miranda, Elle vient de Ferrier ; une commune située dans le Département du Nord-Est. Un endroit que j’aimerais visiter depuis quelques années. Mon amitié entre Miranda et moi grandit de jour en jour. Nous faisons des rencontres très souvent ; un jour, elle m’invita dans sa commune natale.
C’était durant les vacances d’été, que j’arrivais à cette localité. J’ai visité beaucoup de régions mais les gens de cette zone sont vraiment hospitaliers. Le père de Miranda me reçoit comme si j’étais l’un de ses enfants, et me donne l’envie de rester dans la zone. Il y a des choses que je n’avais pas l’habitude de voir chez moi comme des moutons, des chevaux, des ânes marchant avec leurs petits. Et le weekend nous nous sommes rendus dans les trous – Ladous.
J’ai passé une semaine formidable parce que j’ai passé des moments que je n’oublierais jamais.
J’étais tellement émue de cette visite et je dis que c’est grâce a à cette rencontre au bord de la plage que je connais cette zone.
Nous avons passé un moment inoubliable sur cette plage. Comme il était déjà quatre heures et demie, nous allons nous rincer avec de l’eau pour retirer les grains de sables. Après-nous nous dépêchons pour rentrer chez nous. C’était un moment exceptionnel de notre vie.
De vrais amis
Thème : L’Amitié
Christopher Charles, 9 ans
Il était une fois un enfant nommé Jean, il avait un ami nommé Paul, c’était des amis inséparables. Un jour leurs parents les ont emmenés à la campagne pour voir certains animaux et pour voir leur famille, Puis, ils sont retournés chez eux pour aller à l’école. Ils ont vu une mangouste qui allait manger un poussin. Paul dit à Jean, on doit sauver ce poussin, Oui lui dit Jean, parce qu’on ne peut pas voir un animal mourir comme ça. C’est une bonne idée lui dit Jean. Ils chassèrent la mangouste, celle-ci courut à toute vitesse. Sans tarder, le poussin se sauva et alla en direction du poulailler. Regarde-la dit Jean à Paul en riant ! Ils ont passé une bonne journée à l’école primaire. Lorsque les vacances de fin d’année sont arrivées, ils sont allés à la plage et ont vu tous les trésors d’Haïti. Ils ont joué dans le sable, ils ont même fait un pique-nique et même monté sur un bateau. Ils avaient enfin vu cette mer des caraïbes dont on parlait tant dans leurs leçons d’histoire à l’école. Paul a vu des terres à perte de vue, Jean de son côté il voit des gens sur des canots qui pêchent du poisson frais. Quand ils sont redescendus, le père de Paul lui dit : tu as choisi un bon ami, vraiment. Comme Jean n’avait pas de père, sa mère lui dit la même chose. Quelques jours plus tard, ils allèrent à la campagne, et se sont perdus dans un champ de maïs. Ilsont vu un serpent très dangereux, mais ils retrouvèrent leur chemin à temps. Depuis, malgré tout ce qui se passe, ils sont toujours ensembles. Un jour d’école pendant la récréation ils jouaient au football au Tocaiille, au tic tac toe. Paul gagne à tous les coups au Tocaiille, au tictactoe mais le football c’est pour Jean. Jean est très étonné de voir que Paul est très fortaux jeux traditionnels mais il est fier de son ami, même si on les sépare dans la classe, ils sont inséparables. Je vous souhaite une amitié aussi belle que celle de Jean et Paul !
Lili et Ana à La plage
Thème : L’amité
Ludjana Romain, 9 ans
Il était une fois une petite fille qui s’appelait Lili qui avait une amie qui s’appelait Ana. C’était une journée d’été, il faisait chaud et Lili voulai taller à la plage mais ses parents ne voulaient pas parce qu’il pleut toujours. Ana est toujours à la plage en train de se baigner dans la pluie. Un jour qu’il ne pleuvait pas, Lili dit à ses parents : Maintenant je peux aller à la plage? ses parents lui disent non. Pourquoi dit Lili ? parce que la plage n’est pas bonne. Ana vales voir et leur dit que si Lili va à la plage elle va être contente, les parents acceptent. Quand Ana lui annonce la nouvelle, elle est contente. Quand elle arrive à la plage elle dit que c’est bien et propose de construire une maison à côté de la plage si les parents sont d’accord parce que la maison est jusqu’à la ville. Chaque jour elles se baignent à la plage. Un jour il y avait beaucoup de chiens méchants mais les filles aimaient les chiens. Un chien amordu Lili, Lili a dit : la plage est jolie et les oiseaux sont beaux avec leurs mélodies. Ana a vu que Lili a des problèmes, elle a porté Lili sur son dos. Lili dit à ses parents c’est un chien qui m’a mordu sur la plage d’Ana, alors ils ne voulaient plus que les filles se voient. Un jour Lili voulait allervoir Ana parce qu’elle avait fait 30 jours sans la voir. Elle dit à ses parents: je veux revoir mon amie Ana, elle a peut-être besoin d’aide. Non disent vivement ses parents. Un jour pendant que ses parents dormaient, Lili a marché à petits pas et pendant que ses parents dormaient elle est arrivée chez Ana. Elle lui dit : tes parents m’ont laissé tomber mais toi tu ne m’as jamais tourné le dos, tu es ma meilleure amie.Quand elles sont devenues grandes Lili est tombée malade, elle avait fait 12 jours avec de la fièvre. Elle est allée à l’hôpital et c’est Ana qui a prissoin d’elle puisque ses parents sont morts les deux restèrent amies pour toujours.
Jean héros de sa ville
Thème : La Bonté
Antony Chornemé, 10 ans
Il était une fois un héros qui s’appelle Jean qui aimait beaucoup sa ville et il a voulu la sauver. Même petit, Il n’avait qu’un seul but : venir en aideaux gens. Un jour, une méchante sorcière a décidé d’arracher toutes les plantes qui pouvaient guérir et empoisonna les denrées et les récoltes. Les fleurs étaient recouvertes d’épines.
Les épines et les fleurs étaient recouvertes de beaucoup de bulbes blanches ainsi que les légumes les plus rares du monde. À ce moment, tout le monde souffrait. Il y a de la famine dans la plus grande partie du pays. Alors le roi organisa une grande fête pour les nobles,et si les autres veulent participer, il leur faudra donner 20 pièces d’or. Hélas, il n’y avait pas beaucoup d’argent. Les riches ont décidé de quitter lepays, il y avait beaucoup de pauvres dans la rue et le roi mourut pauvre.
En montant sur une estrade, Jean dit qu’il sauvera tout le monde : j’avalerai toutes les bulbes blanches de vos denrées, et je mordrai les épines. Il montra à tout le monde son courage en les avalant. Les épines et les bulbes blanches lui donnèrent plus de pouvoir. Son ventre devenait chaque jour encore plus gros.
Après quelques jours, le héros a supporté toutes les charges et n’a pas pu résister, il est mort en se sacrifiant pour le bien être de sa communauté. Toutle monde était à son enterrement, une grande foule. Tout le monde était triste dans le cœur. Toute la ville a eu des fruits gratuits et son esprit était entre eux. Après un an, un arbre leur parla. C’était l’esprit de Jean, il dit : Pourquoi ne m’honorez-vous, pas, je vous ai sauvés. Vous voyez cet arbre, il contient de l’eau pour tout le pays.
Deux amies sincères
Thème : Amitié
Nom : Neila Cory Nelfort, 10 ans
Il était une fois une petite fille qui s’appelait Liliane, elle n’avait que 8 ans et vivait dans un quartier pauvre de la ville de Jacmel avec sa cousine qui ne l’aimait pas du tout. Des fois elle passait sa journée sans rien manger et portait des habits sales. Liliane n’avait pas d’amis parce qu’elle était une gamine polie.
Un jour, en passant sur la route, elle fit la connaissance d’une autre petite fille qui se promenait, elle se nommait Dorineda. Très vite, elles ont commencé une conversation :
- Dorineda : Où est ta mère ?
- Elle est morte dans un accident
- et ton père ?
- Il est en prison
- Est-ce que tu vas à l’école ?
- Non je n’y vais pas
- Est-ce qu’on peut devenir amies ?
- Certainement, nous pouvons l’être
- Eh bien, dans ce cas, je t’invite à diner chez moi, je vais tout expliquer à mon père et il t’achètera de beaux habits et t’enverra à l’école.
- D’accord lui dit Liliane
- Quelques années plus tard, Liliane a terminé ses études classiques, mais restait toujours impolie avec ses amis.
- Dorineda lui apprend chaque jour les bonnes manières. Finalement, elle a regretté son comportement et est devenue une petite fille gentille et calme.
- Enfin, le père de Liliane est sorti de prison, tous les trois vivaient heureux, Dorineda est devenue comme une sœur pour Liliane.
- Elle lui a dit :
- Merci beaucoup pour tout ce que ton père e ttoi avez fait pour moi, grâce à toi, je suis humble, gentille et respectueuse. Tu vois, parfait l’amitié peut être plus forte que les sentiments d’un frère ou d’une sœur.
- Maintenant sa cousine l’aime et elles vivent bien ensembles
- Ne peut-on pas prendre ces enfants comme exemple et devenir meilleurs avec les autres ?
- Alors tu vois, tu dois aimer ton prochain comme toi-même